Fidèle à sa devise, “Un pour Tous, Tous pour Un”, la Suisse bénéficie d’assurances sociales fortes. Il en va de même dans notre canton qui veille à ne laisser personne au bord de la route. Le financement de notre filet social n’est hélas pas garanti, envisagé à court terme. Si nous continuons ainsi, il appartiendra aux générations futures de régler nos dettes. La pandémie qui nous touche depuis 2020, laissera des traces pour des années encore.

La question hospitalière reste d’actualité. La « cantonalisation » de nos hôpitaux n’a pas atteint ses buts, les coûts ne sont pas totalement maitrisés, la preuve de l’efficience n’a pas été apportée.

De nombreux habitants de notre canton sont inquiets quant à la sécurité de la prise en charge en cas d’urgence, ceci d’autant plus que les médecins prêts à travailler dans nos campagnes se font rares. Nous devons encourager la formation en médecine des citoyennes et citoyens de notre pays pour reprendre des cabinets de proximité.

Avec les avancées de la médecine, l’espérance de vie augmente. L’accompagnement des personnes âgées est devenu un sujet primordial afin de conserver une bonne qualité de vie à nos ainés.

Nous devons offrir aux aînés des structures adaptées à leurs difficultés physiques, à des montants abordables. Les LSI (logements à structures intermédiaires) doivent être encouragés.